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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2278299

ABSTRACT

Introduction: During the acute phase of SARS-CoV-2 infection, alveolar and microvascular damages are observed in some patients. These lesions are promoted by hyper inflammation and immunothrombosis, respectively. While dyspnea is a very prevalent symptom following SARS-CoV-2 infection, the consequences on the lung are currently poorly documented. Aims and objectives: We hypothesized that patients retained parenchymal and also vascular sequelae after the infection. This single-center ambispective study aimed to characterize these sequelae after the infection. Method(s): All patients hospitalized at the University Hospital of Caen for a PCR-proven SARS-CoV-2 infection were offered a follow-up including a clinical evaluation and the realization of complete LFT, non-injected CT scan, ventilation/perfusion single-photon emission computed tomography (SPECT), and a cardiopulmonary exercise testing (CET). This assessment was performed within 6 to 9 months after the infection. Result(s): 105 patients were included. At 6-9 months after infection, 71% of our patients retained radiological abnormalities, mainly ground glass and/or reticulations. LFT revealed that 21.3% of patients had abnormal FVC (<80%) and 51.2% of patients had abnormal DLCO (<80%). SPECT showed mismatched defects for 15% of patients. Finally, CET showed that 28.6% of the patients had an exercise limitation and 25% showed an abnormality of the vascular parameters. Conclusion(s): These preliminary data suggest the persistence of vascular and parenchymal abnormalities in a significant proportion of patients at 6-9 months after SARS-CoV-2 infection.

2.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):137-138, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586641

ABSTRACT

Introduction Alors que la dyspnée est un symptôme très prévalent au décours de l’infection au SARS-Cov2, les conséquences sur la fonction respiratoire de cette infection sont aujourd’hui mal connues. Cette étude prospective monocentrique vise à caractériser les séquelles fonctionnelles, vasculaires et parenchymateuses à 6–9 mois d’une infection au SARS Cov2. Méthodes Tous les patients pris en charge en charge au CHU de Caen pour une infection liée au SARS-CoV-2, se sont vus proposer un suivi comportant une évaluation clinique et la réalisation d’épreuves fonctionnelles respiratoires complètes, d’une tomodensitométrie sans injection en coupes fines d’une scintigraphie de perfusion ventilation et une épreuve d’effort. Ce bilan était réalisé dans les 6 à 9 mois au décours de l’infection. Les patients avec une suspicion d’infection non documentée par PCR ou perdus de vue lors du suivi étaient exclus de l’étude. Résultats Au total, 105 patients ont été inclus dans notre étude. À l’exception de l’épreuve d’effort, les données du bilan ont pu être collectées pour la majorité des patients. Lors de l’épisode infectieux, 62,9 % des patients ont été pris en charge en soins continus ou réanimation. L’ensemble des patients a bénéficié d’un traitement par dexamethasone. La majorité des patients étaient des hommes (67,6 %), avec un âge moyen de 63,7 ans. Les comorbidités les plus fréquentes étaient l’obésité (45,7 %), l’hypertension artérielle (41,9 %) et le diabète de type 2 (39 %). À 6–9 mois de l’infection, 71 % des patients présentaient des anomalies radiologiques, principalement a type de verre dépoli résiduel et/ou de réticulations. Sur le plan fonctionnel, 18,6 % des patients présentaient une CVF anormale (<80 %) et 51,2 % des patients présentaient une DLCO anormale (<80 %). Sur le plan vasculaire, la scintigraphie de ventilation/perfusion a retrouvé a mis en évidence chez 15 % d’entre eux un défect perfusionnel non concordant. 56 patients ont réalisé une épreuve d’effort. 28,6 % des patients ont présenté une limitation de leur capacité d’effort. Une limitation ventilatoire a été retrouvée chez 10,7 % des patients, un déconditionnement musculaire chez 17,9 % des patients, une anomalie vasculaire chez 25,0 %. Un syndrome d’hyperventilation a été identifié chez 23,2 % des patients. Conclusion Ces données préliminaires suggèrent la persistance d’anomalies vasculaires, parenchymateuses associées pour une proportion importante de patients à 6–9 mois d’une infection au SARS-Cov2 dans notre cohorte.

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